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 Martin Bolice

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MessageSujet: Martin Bolice   Martin Bolice EmptyMer 2 Mar - 8:56


1 Je tue un mec sans le vouloir vraiment


C’était une nuit froide et terrifiante, le vent soufflait tellement fort que les branches se brisaient. J’étais seul dans la nuit noire après m’être évadé de la prison. J’entendais les policiers et leurs chiens suivre ma piste. Je ne me suis pas présenté, je m’appelle Martin Bolice, j’ai 30 ans, j’ai les cheveux bruns décoiffés, une grande taille et je me suis fait arrêter pour violences envers un flic. Je me suis évadé il y a environ 3 heures. Quand soudain j’entendis un bruit puis je vis l’ombre d’un chien.
-Dégage sale cabot.
Puis trois flics m’entourèrent en pointant leur flingue vers moi
-Rend-toi Bolice, déclara l’un d’eux.
Alors je me mis à courir aussi vite que possible, tous les chiens étaient à mes trousses, j’entendais les bruits des sirènes de voiture de police, je n’avais aucune issue quand je vis une porte d’immeuble ouverte. Alors je tentai ma chance puis je fonçais vers la porte. Quand je fus dans l’immeuble je montais aussi haut que possible. La police entrait dans l’immeuble quand je découvris une fenêtre. « Ouf », pensais-je, alors je sautais aussi loin que possible. Je réussis à atteindre un hôtel, je fis quelque pas sur le toit puis je resautais d’immeuble en immeuble quand je vis de loin un bar. Je descendis du restaurant-hôtel où je me trouvais, mis ma capuche sur la tête, puis je fonçais vers le café. A l’intérieur, il y avait des hommes jouant aux cartes, un barman et quelques personnes armées ; ce n’était pas rassurant.
-Un décaféiné, dis-je au barman.
J’eus à peine le temps de m’asseoir que 3 flics débarquèrent dans le café. Je les reconnus, c’était eux qui m’avaient retrouvé tout à l’heure. Ils me reconnurent. Je rentrai dans le ventre de celui du milieu, qui lâcha son arme que j’attrapai, puis je m’enfuis en pointant mon flingue vers eux. Je courais, je courais jusqu'à voir une voiture s’arrêter. La portière s’ouvrit, alors là je sautai sur le type qui sortais, je lui dis de me conduire jusqu'à Toulouse s’il ne voulait pas se faire plomber la tête. Nous fîmes au moins 90 km pour arriver à Toulouse, là où se trouvait ma planque. Alors je vis mon conducteur sortir de sa caisse puis foncer vers une cabine téléphonique. Je devinais ce qu’il allait faire, il allait appeler la police pour dire où je me situais. Je sais, je ne suis pas un assassin, mais c’était pour ne pas me retrouvait en tôle. A peine était-il sorti que je levai mon arme vers lui et je tirai. Bien sûr je n’étais pas fier de ce que j’avais fait, mais bon c’était fait. Je fis quelques mètres et je reconnus ma planque : une vielle usine qui tombait en ruine. J’entrai, j’entendis des voix puis j’aperçus deux hommes, tous les deux avec une arme, malheureusement j’étais rapide mais pas très discret. Ils me repérèrent.
-Dégagez c’est ma planque, leur lançai-je.
-Plus maintenant, me répondit un des deux hommes.
Alors ils tirèrent sur moi. J’eus a peine le temps de sortir que deux flics me tirèrent eux aussi dessus. Je n’eus pas le choix, je tirai sur un des policiers qui se mit à se plier sur le sol en gémissant
-Tu vas le regretter Bolice, me lança son collègue.
Les deux hommes de tout à l’heure se firent arrêter pendant que moi je courais, je courais, je devais être l’homme le plus rapide du monde, du moins de la France. Je grimpai sur une voiture qui allait démarrer, puis je fis 4 km assis sur le toit jusqu'à qu’elle s’arrête. « Mince », pensai-je. Elle s’était arrêtée devant un poste de police. Je n’avais qu’une solution : sauter et courir.
Je courais, je courais, sans me retourner, j’entendais les balle des pistolets cogner contre les lampadaires, quand soudain je sentis une atroce douleur à la cheville, je tombai par terre en hurlant de douleur, puis je sentis un gros coup sur la nuque puis plus rien.




















2 Je passe faire un coucou à mon cousin


Quand je fus réveillé j’étais allongé sur un lit, j’aperçus un policier.
-Enfin réveillé Bolice, me dit-il.
-On t’a donné un coup sur la nuque pour éviter que tu nous tires dessus, tu a dormi 10 jours, mon collègue t’a tapé un peux trop fort sur la nuque, tu vas être jugé dans 3 jours.
Il sortit de la salle et déclara à une infirmière
- Bolice s’est réveillé.
– Ah enfin, répondit l’infirmière.
Elle entra dans la salle et me dit de me reposer, je me rendormis. Je me réveillai 2 jours plus tard.
– Tu as beau être rapide, tu dors vraiment très longtemps, me dit une voix.
Il me fallut 1 minute pour me rendre contre que c’était le policier qui m’avait parlé deux jours plus tôt.
- Je pense que ta sanction va être dure, reprit-il, bon maintenant lèves toi et habilles toi.
Je fis ce qu’il me dit. Quand j’eus fini de m’habiller, il me dit de le suivre jusqu'à une petite salle
- Attends ici, me dit-il.
Cette salle devait mesurer 10 mètres cubes, il y’avait des posters de vieux films policiers, de films d’espionnage et de plein d’autres films. J’attendis 6 minutes avant que le policier revienne, il était accompagné par deux autres flics, l’un d’entre eux déclara
- Tu vas être jugé ce soir à 22h30.
–Bon lève-toi maintenant, me dit un autre.
Je suivis ses ordre et je me levai, à se moment, je vis une porte ouverte, alors je bousculai un des policiers et je courus jusqu'à la porte, « quelle aubaine » me dis-je. Un flic ouvrit une voiture, je lui donnai un coup dans la nuque
- Je ne fais que vous rendre la monnaie, leur lançai-je.
Je montai dans la voiture et je la fis démarrer. J’entendais les voitures de police me coller
- Rends-toi, me hurlait un flic derrière-moi.
Je fis quelques kilomètres avant d’arriver à une maison, cette maison c’était la maison de mon enfance, je sonnai, j’attendis 1 minute avant qu’un grand homme musclé m’ouvre. Je reconnus tout de suite la personne qui m’ouvrit la porte, c’était mon cousin Edwin, son père était le frère de ma mère et sa mère une Américaine de Las Vegas.
- Tiens tiens, revoilà mon criminel préféré, que fais tu ici cousin ?
– Simple, lui répondis-je, j’ai fais une grosse gaffe, je me suis fais choper, j’ai tenté de partir du commissariat, j’y suis arrivé, je me suis collé la police au derrière et me voilà, tu vois.
Il me dévisagea un bon bout de temps et finit par dire
– Je vois, en gros, tu veux que je te cache ici jusqu'à ce que les flics arrivent, fouillent la maison, te trouvent et m’arrêtent pour complicité envers un criminel, je vais tout te dire, j’aimerais bien t’aider, mais le problème c’est que c’est trop risqué, alors tu vois je vais te refiler une adresse d’un type qui pourra sûrement t’aider, il est policier mais je lui ai déjà parlé de toi, il sait comment tu as fini criminel, il pourra sûrement t’aider, voilà son adresse : 11, rue du Nuage, Tellisville
–Où, demandais-je.
– Tellisville, c’est un petit village de l’Ouest de la France, je vais aller te chercher une carte, bouges pas.
Il rentra dans la maison se dirigea vers la cuisine. Il en sortit très rapidement avec une carte à la main
– Tiens Martin, bonne chance.
– Merci énormément, je dois y allais avant que la police me trouve, au revoir et encore merci
–De rien, me dit-il quand je rentras dans ma voiture, au revoir a toi aussi.
« Ou peut être adieu » pensais-je tristement, je m’imaginais déjà, comme les détenus de l’époque précédente, en costume de bagnard dans une cellule à noter les jours sur les murs. Je supprimai immédiatement cette idée de ma tête et je fis démarrer ma bagnole, j’adressai un petit sourire à mon cousin en pensant que je n’allais pas le revoir de si tôt. J’arrivai à Tellisville très tard le soir, c’était un petit village de campagne au bord de l’océan Atlantique, il y avait un petit port, un ou deux restaurants et un hôtel. En arrivant dans la ville, je vis trois pécheurs rentrer chez eux et une voiture quittant le village, je mangeai au restaurant de l’hôtel, montai dans la chambre que j’avais réservée et allumai la télé. Je regardai les infos une bonne heure et je me couchai.

















3 Un flic qui se montre sympa veut me tuer


Quand je me réveillai, le soleil était déjà haut dans le ciel, je regardai ma montre et je vis qu’il était 11 heures du matin, je pris mon petit déjeuner et je me rendis à l’adresse que m’avait donné Edwin, c’était une petite maison à quelque pas de mon hôtel je sonnai et on m’ouvrit, je vis alors un homme blond avec un jean noir qui me dit.
– Etes vous de la famille d’Edwin ?
Je lui répondis que c’était mon cousin et que c’était lui qui m’avait donné l’adresse.
-Enchanté, me répondit-il, Je m’appelle Eric Duragnion et vous.
– Martin Bolice, lui dis-je.
Il me dévisagea longtemps puis déclara
– Je vous connais non seulement par Edwin, mais aussi par la police, vous savez, vous êtes très recherché, mais d’après ce que m’a dit votre cousin, on vous a forcé à devenir criminel.
Je me souvins alors de mon passé criminel, un jour, j’était aller me balader, quand soudain j’avais vu une bande de bandits essayer d’ouvrir la porte d’une banque, j’avais essayé d’appeler la police, mais les voleurs m’avait déjà repéré, ils m’avaient dis que si je ne rejoignais pas leur bande, ils me tuerais, j’avais donc fait le choix numéro 1, mais depuis je m’était fais arrêter et mon groupe m’avais abandonné, depuis, si je m’était évadé c’étais pour me venger. Duragnion reprit
- Malheureusement, en temps que policier, je suis obligé de t’arrêter, mais comme je t’aime bien, je ne vais pas te dénoncer, mais si tu te remontres dans le coin, je peux jurer que tu iras en prison et que ta sanction, après tout ce que tu a fait, sera très dure avec toi.
« Merci Edwin » pensai-je, j’ai fait un long voyage pour qu’ont me dise « coucou comme je suis flic mais que je suis gentil, je vais pas te cafter, mais si tu ramènes encore ta fraise dans le coin j’ te foutrais en tôle ». Soudain, j’entendis une voix derrière Duragnion
– Qui est-ce Eric ?
– Le facteur, répondit ce dernier, il a un recommandé, passes moi quelque chose, me souffla-il, n’importe quoi.
Je fus obligé de lui passer la carte d’Edwin. Je repartis donc sans rien, même pas un morceau de ma carte. J’étais (presque) déprimé. Soudain je me souvins de la voix que j’avais entendu, c’était celle de l’infirmière que j’avais rencontrée au poste de police. « Il faut que j’y retourne » pensai-je. Je sais, vous allez me prendre pour un cinglé après tout ce que Duragnion m’avait dit, mais vu la gentillesse de l’infirmière, j’avais peut être une chance. Je retournai chez Duragnion, j’entendis des voix.
–Avoue Eric, je reconnue la voix de l’infirmière, ce n’était pas au facteur que tu parlais mais à Bolice.
- Non Victoria, je te jure que c’était le facteur, celle là c’était celle de Duragnion, pourquoi dis tu ça ?
–J’ai déjà entendu Bolice parler, reprit Victoria, quand il était au commissariat.
– Mais puisque je te dis que non, mentit Duragnion.
– En disant ça, lui jeta Victoria, en dévisageant le menteur. Tu perds ma confiance, Eric !
Elle cracha, se dirigea vers la sortie, ouvrit la porte, sortit et la claqua brutalement. Maintenant que je l’avais bien observé, je pouvais très bien décrire Victoria, elle était plutôt jeune, avait des cheveux noirs et longs, de beaux yeux perçant vert émeraude et une bouche semblable à une petite tache de sang, je l’avoue, elle était assez jolie. Je me promenais dans le village, et horreur, je vis trois voitures de police, Duragnion était parmi eux, je ressentis en même temps la peur, la haine et la vengeance. Je m’approchai un peu pour entendre la conversation
– Comment ça, agent Duragnion, dit un des policiers que j’avais vu à ma dernière arrestation, vous êtes sur que Bolice n’est pas ici, il est peut-être caché quelque part où vous n’avez pas cherché.
– Non agent Arest, répondit sèchement le menteur, me traitez vous de mauvais agent ?
-Non, répondit en tremblant le flic.
Puis il rentra chez lui, je courai sans me faire repérer vers la maison de Duragnion, j’entendis des pleurs, « pauvre gars » pensais-je. Il fallait que je l’aide, je sonnai, il m’ouvrit une seconde plus tard. Un instant je crus qu’il allait me tuer, mais il resta à me regarder pendant une minute puis déclara en me lançant un regard noir
– Je t’avais dit de te casser, Bolice !
– Je veux juste t’aider, lui lançai-je un peu énervé de son accueil un peu violent.
– Tu veux m’aider, cracha-t-il, alors dégages !
– M… mais, bégayais-je.
– Casse-toi Bolice, me cria-t-il, casse-toi ou je te tue !
En voyant son arme à la main, je compris qu’il ne déconnait pas. Tout le bruit que Duragnion faisait attira deux flics, en me voyant, ils commencèrent à me tirer dessus, j’en vis un téléphoner, en quelques mots j’était foutu, courir était ma seule et unique chance...













4 Je retrouve un type qui a fait de ma vie un enfer


Je courai jusqu’à ma voiture. Je poussai un cri de surprise en voyant Victoria assise sur le capot de ma voiture.
– Laisse moi deviner Bolice, déclara-t-elle très calmement, cette voiture, tu l’as volé.
– Comment as-tu devinai, lui répondis-je, étonné.
– Tu a l’air de d’être habituait à elle pour oublier que c’est une voiture de police, rigola-t-elle, en attendant, je te rappelle que tu es poursuivis.
J’avais complètement oublié ça.
- Merci de l’avoir retenue, Vic, lança une voix derrière moi.
– Je ne l’ai pas retenue Arest, répondit-elle à la voix derrière moi, et arrête de m’appeler Vic.
Je me retournais et je vis l’homme qui parlait à Duragnion tout à l’heure.
– Mais, dit-il.
– Tu n’as rien à dire, lui lança Victoria en le jetant à terre, grouille toi Éric, Martin emmène-nous là où je te dirais.
Duragnion tourna la tête visiblement surpris, puis il courut vers nous, j’entrai dans la voiture attendis qu’Éric et Victoria soit entrés, puis je fis démarrer la moteur et nous partîmes.
– Il y a quelque chose que je ne comprends pas, déclarais-je à Victoria alors que nous entrions sur l’autoroute, pourquoi m’as-tu aidait ?
– Alors tu ne me reconnais vraiment pas, me répondit-elle, allez devine.
– Non, je ne vois de quoi tu parles, dis-je surpris.
– Je suis une amie d’Edwin, me lança-t-elle, tu m’as connue à une fête pour célébrer ses 20 ans, c’est là que j’ai rencontrer Éric.
Elle avait raison, je me souvenu de cette fête, maintenant, je reconnus très bien Victoria et Duragnion
– Et toi Éric, lançais-je à ce dernier, tu t’est souvenu de moi ou pas.
– Non, répondit-il aussi étonné que moi, pas du tout.
– Argh, hurla Victoria, regarde ce que tu fais au lieu de discuter Martin.
Je tournais la tête et je découvris que je percutait une voiture, je repris le plus rapidement possible le contrôle de la bagnole, malheureusement ça ne servi qu’à aggraver la situation périlleuse où nous nous trouvions, je percutai une autre caisse qui se retourna et qui rentra dans une autre voiture, nous eûmes très peu de temps pour sortir de la voiture et pour extraire les autres passagers de leurs bagnoles, quelques minutes plus tard, il y eu une explosion.
– Bravo Bolice, lança une voix derrière moi, tu es vraiment doué pour t’attirer des ennuis.
Je me retournai et je vis deux policiers armés. Je m’apprêtai à sortir mon arme et je me rendis compte que je l’avais laissé dans la voiture.
– Allez, dit un des deux flics, main derrière le dos tout le monde, tiens Victoria et Éric, le coup de téléphone de Tellisville était vrai, vous êtes bien passé du côté des criminels.
- Bolice n’est pas vraiment un criminel, protesta Duragnion, il n’a pas vraiment eu le choix.
Les policiers se tordirent de rire
- Bolice pas vraiment criminel, c’est la chose la plus drôle que j’ai jamais entendu de ma vie, t’entends ça Durocs !
– Ouais Laglèle, répondit l’autre flic.
Il fallut attendre deux longues minutes qu’ils se calment, juste le temps de m’apercevoir que parmi les blessés ce trouvait un visage familier, la raison de mon évasion, une des personnes qui avais fait de mon existence un cauchemar dans lequel on voudrait se réveiller, un des voleurs de mon ancien gang.
– Toi, lui hurlais-je, tu as eu de la chance que je te sorte de cette explosion mais tu as la malchance que ce soit moi qui t’ait sorti.
– Mart… Mart… Martin, bégaya-t-il, je regrette, ce n’est pas moi qui ai dit de te laisser aux mains des poulets, c’est le boss.
-Merci, lui répondis-je sèchement, mais ça je le savais.
– Mais…
-Tu n’as rien à dire, le coupai-je, si tu voulais m’aider, il fallait que tu me libères des mains des policiers.
- Mais…
- Rien du tout, coupa une voix derrière moi, merci Bolice de dénoncer un de tes collègues, mais d’après ce que je viens d’entendre, il semblerait que ce soit plutôt ton ex-collègue, hein Bolice.
– C’est un plaisir de le dénoncer, répondis-je, dommage pour toi que il n’y ait pas que lui dans mon ancienne bande.
A mon avis, il fut surpris de mes paroles car quand mon poing se retrouva en plein dans son ventre, il ne se défendit pas, ça me permettait d’attraper son arme qui me servit à menacer l’autre policier. Je soufflai à Duragnion de prendre mon ex-collègue comme otage et à Victoria de confisquer l’arme du flic. Ils s’exécutèrent sur le champ, les taches une fois accomplies, nous nous dirigeâmes vers la bagnole des deux policiers en bousculant les passants, la plupart étant des blessés. .


























5 J’utilise mon ex-collègue pour cambrioler une bijouterie et je lui laisse l’argent et la vie


Nous bâillonnâmes, ligotâmes et jetâmes mon ancien complice dans le coffre et nous partîmes. Nous roulâmes pendant quelques heures, au bout d’un certain temps je commençai à me fatiguer, je demandai à Duragnion de prendre le volant sans me rendre contre qu’il dormait, puis je suppliai Victoria de conduire au lieu de lire ses magazines mais ça ne servit à rien car elle ne m’entendait pas, enfin je crois plutôt qu’elle le faisait exprès, pour tout dire, je fus obligé de continuer à conduire. Je baillai haut et fort, ce qui réveilla et dérangea Éric qui prit le volant ; je pus donc me reposer. A mon réveil, d’après Victoria, nous étions à Marseille, pendant que Victoria et moi cherchions un hôtel dans le guide Michelin, Duragnion repeignai la voiture pour qu’elle passe inaperçue en ville. Nous trouvâmes un petit hôtel avec une chambre convenable. Le soir nous dînâmes dans un resto sympa où nous ne restâmes pas très longtemps car il s’y trouvait un groupe de policiers ; heureusement qu’ils était à l’autre bout du restaurant. Je ne sais pas pour les autres, mais moi j’avais complètement oublié qu’ont était en cavale. Le lendemain, en me réveillant, je vis que Duragnion et Victoria n’était plus là. Au début, je crus simplement qu’ils étaient partis prendre leur petit déjeuner, mais quand je descendis au self, je compris qu’ils n’étaient pas là non plus. Je commençai à m’inquiéter, puis je demandai au mec de la réception si il avait vu un homme et une fille d’une trentaine d’années qui était avec lui hier soir sortir de l’hôtel. Je me réjouis quand il me dit que oui mais mon sourire s’effaça complètement quand il me dit qu’il était accompagné de deux policiers. Je lui demandai si il savait où ils étaient partis, il me répondit que non. En sortant, je soufflai en voyant que la voiture était toujours là et que mon ex-collègue, qui s’appelait Hugo Reelbert, était encore à l’intérieur, je mis en marche le moteur et je partis. Mon premier réflexe fut d’aller au commissariat, puis je me souvins que j’étais recherché, alors, je décidai plus tôt de changer de vêtements, de me coiffer différemment et de créer quelques cicatrices. Bien sur je pensai prendre des habits de flics, mais où les trouver ? Je décidai de cambrioler une banque pour attirer les policier sauf que c’était un peu risque, c’est la qu’une idée géniale atteignit mon cerveau (mais, bien sur, j’en est un. N’allez pas vous imaginer que, comme disent certaines rumeurs, je n’en ai pas. Au contraire, j’en est un d’intellectuel, moins gros qu’Albert Einstein, mais gros quand même) de malfrat : ce fut d’utiliser Reelbert. J’allais le voir, le débâillonnai et lui proposai
– Reelbert, je vais te rendre ta liberté, à une condition, tu dois cambrioler la banque la plus proche, tu pourras garder l’argent.
– Tu es sérieux quand tu parles là, répondit-il les yeux écarquillés, cambrioler une banque et garder l’argent et en plus avoir la liberté, waouh, t’es trop cool Bolice.
Bien sur, je ne comptais pas lui laisser la vie sauve, sauf s’il dénonçait mon ancien boss. Je vis Reelbert foncer vers la banque, il n’avait jamais été un bon voleur, mais il savait facilement escroquer les gens. Inévitablement, deux minutes plus tard, une voiture de flics arriva, c’est là que je mis le contact et que je fonçai sur les policiers. Ils s’éparpillèrent un peu partout, je sortis de la voiture, j’en frappai un en pleine face et je tirai et ils s’enfuirent en courant, je pus prendre les habits du flic que j’avais tapé, avec mon couteau suisse je me fis quelques cicatrices, puis je mis le mode ciseau et je pus changer ma coiffure et quand Reelbert sorti, je le jetai à terre et le menaçai avec mon arme.
– Où sont le boss et sa bande ? Le questionnai-je, allez répond, ta vu mon flingue, tu sais peut-être pas, mais à l’intérieur il y a des balles qui rêvent d’avoir un contact avec ta tête d’abruti, alors t’a intérêt à répondre, ok.
– Je te promet que je n’en sais rien, crois moi, me supplia-t-il, j’ai quitté le gang il y a quelques mois.
– Rahhh, m’énervai-je, j’espère pour toi que tu as raison parce que sinon ça risque d’aller mal pour toi, bon je te laisse trois secondes pour te casser, sinon je tire.
Il partit très rapidement, je repris le volant, je partis pour aller aider mes nouveaux amis.












6 Je laisse Edwin aux mains des policiers pour garder la vie sauve


J’arrivai rapidement au poste de police, j’entendis des voix.
– Comment ça Reelbert, tu as vu Bolice et il t’a ordonné de cambrioler une banque à sa place, tu as changé depuis que tu es devenu honnête, merci de rendre le butin, à propos, tu sais que ses deux complices ont été arrêté, comme ça il viendra les chercher, génial, non.
– Fait attention, dit une voix qui devait être celle de ce traître de Reelbert, il a changé de coiffure et s’est déguisé en policier.
C’est là que je tirai et leur crièrent
- Dommage, il n y aura bientôt plus qu’un témoin.
– Bolice, s’écrièrent les deux hommes visiblement surpris.
Ils n’eurent pas le temps de sortir leurs armes et je pus les jeter par terre, je leur arrachai leurs armes et je les jetai à côté, je les assommai, je pus donc les ligoter et les bâillonner et une fois les taches accomplies, je pus enfin continuer mon chemin tranquillement. Au passage, je croisai quelques policiers, mais bien sur, ils ne purent rapporter aucune information après m’avoir rencontrer. Il fallait avouer que mon déguisement était pas mal parce que ça n’arrive jamais (où bien très rarement) qu’un policier, quand vous êtes criminel, passe devant vous en vous disant « salut collègue ». Soudain, je sentis une horrible douleur dans le dos, je me retournai et je vis Reelbert, les jambes sur mon dos. Il m’adressait un petit sourire. Un an plus tôt j’aurai pu lui dire « sacré Reelbert », mais cette fois (malheureusement) je ne pense pas (à moins qu’il soit très bête) qu’il fasse ça pour plaisanter.
– Coucou pigeon, m’adressa-t-il, tu as oublié de nous retirer nos portables, ça n’a pas été très difficile de faire glisser nos téléphones de nos poches, de les apporter juste dans nos main et d’envoyer un SMS pour qu’on vienne nous libérer.
Deux choses m’énervaient dans cet oubli, la première, c’était que je n’avais pas penser une seconde à leur retirer leurs portables, et l’autre, la plus horrible, c’était de voir et d’admettre que Reelbert était plus rusé que moi.
– Reelbert, lui jetais-je, dire que tu était la seule personne que je trouvais sympathique dans le gang.
– Le gang, pouffa-t-il, la gang sera en prison dans quelque mois, je vais le dénoncer.
– Chouette, souriais-je malgré moi, enfin une bonne nouvelle, pour une fois tu es utile Reelbert.
-Si ça te fait plaisir, me dit-il, je ne peux pas t’empêcher de sourire, en attendant tu vas me suivre gentiment.
Comme il était sur mon dos, je constatai que je ne pouvais atteindre mon arme, par contre lui, il pouvait facilement pointait son pistolet vers ma tête, ça m’énervait plus que tout, mais j’était obligé de lui obéir. Nous marchâmes quelques minutes quand soudain, quelque chose tomba sur Reelbert, je fus rempli de joie quand je distinguai le visage d’Edwin.
– Tu tombes bien, cousin, plaisantais-je, comment savais tu que j’étais ici ?
– Quand tu es partis, me répondit-il, j’ai téléphoné à Duragnion pour me tenir au courant de se qui se passait de votre côté, hier matin…
-Quoi, le coupai-je, ils ont été arrêtés hier matin, mais je n’ai pas dormi depuis leur arrestation, je n’ai même pas pensai à regarder la couleur du ciel ou l’heure sur ma montre.
– Laisse moi au moins terminer, me pria-t-il. Hier matin, disais-je, Éric m’a téléphoné en disant qu’il était dans un car de police et qu’on l’emmenait, lui et Victoria, au commissariat. Reelbert releva la tête.
– Prends ça traître, lui crachais-je en lui donnant un coup dans la partie crânienne.
Il retomba par terre les yeux clos.
– Tu l’as tapé un peu trop fort, me fit remarquer mon cousin.
– Il mérité bien plus fort, le repris-je, cet homme a essaye de me trahir, moi qui l’est défendu tant de fois, il mérite carrément la mort.
– A propos, à ton dernier passage, tu ne m’avais pas dit que tu avais tué quelqu’un
-Comment le sais tu, le questionnai-je.
– Simple, me répondit-il, tu regardes les infos et tu entends ça : le célèbre criminel Martin Bolice est toujours recherché, nous vous rappelons que c’est un assassin et qu’il est capable de vous tuer.
Je m’apprêtai à lui répondre quand je me rendis compte que Reelbert avait disparu.
– C’est pas cool, m’écriais-je, pas cool du tout.
-T’as raison, répéta Edwin, c’est vraiment pas cool, viens Martin. On n’est pas en sécurité ici.
Nous nous dépêchâmes de trouver un refuge, quelques hommes passèrent devant nous, heureusement ce n’était pas des policier, ils ne devaient donc pas être au courant de ma stratégie. Les policiers étaient partout dans la ville et demandaient au gens s’ils ne nous avaient pas vu, je me retins de ne pas crier quand j’aperçus les personnes que l’on avait vues tout à l’heure discuter avec les flics
–Argh, poussa mon cousin.
Je n’eus pas le temps de lui dire de se taire que les policiers tournèrent la tête et m’aperçurent, ils s’approchèrent et nous fûmes obligés de courir pour les éviter, quand soudain Edwin tomba par terre, il était fichu et moi j’étais obligé de continuer pour survivre…










7 Je trouve mon père pour le perdre illico presto



J’avais soif et faim et en plus je savais que mon cousin allait passer un sale quart d’heure, mais je ne pouvais pas m’arrêter pour ne pas me faire choper, en quelques mots, j’avais acheté un billet me permettant d’aller directement en enfer. Je finis par trouver une petite ruelle, je dus me cacher dans une poubelle pour éviter la prison. Je sortis de ma cachette aussi fatigué que sale, vu le nombre de policiers dans les rues, la nouvelle de ma présence n’était pas restée secrète. Ils ne me reconnurent pas à cause de mes habits troués et d’une perruque que j’avais trouvée dans la poubelle. J’avais 2 choses à faire : sauver mes amis et mon cousin et trouver une planque. Je parcourus la ville à pied, il faut avouer que c’est assez crevant, je dus à plusieurs reprises me cacher à cause de ces (je pourrais être plus vulgaire, mais je vais éviter) fichus policiers répartis dans la ville. J’entendais des phrases comme
« Dis, tu sais que Martin Bolice, tu sait, le tueur, est en ville »
Ou bien
« Fais gaffe en rentrant chez toi, il y a Bolice l’assassin qui traîne dans les rues, il parait qu’il est hyper recherché »
Je finis par me fatiguer alors je pensais qu’il était plus sage de faire une pause, je décidai de m’asseoir sur un banc. Quelques minutes plus tard un homme aux cheveux blonds or vint s’asseoir à côté de moi. Au début, il ressemblait à un simple passant, puis après, son visage me parut plus familier, au bout d’un moment, je trouvais sa figure vraiment trop familière, c’était mon père.
–Papa, m’écriais-je, que fais tu là.
Il me regarda comme si j’étais un fou.
–Bah, m’étonnai-je, tu ne me reconnais pas ?
–Non, me répondit-il, pas du tout, qui es tu ?
– Ton fils, pourquoi ?
. – J’avais bien compris que tu me prenais pour ton père, s’énerva-t-il, alors, qui es tu ?
– Heu, bafouillai-je, c'est-à-dire que si tu n’es pas mon père et que tu vas dire à la police qui je suis et où je suis, tu vois, ce ne serait pas cool.
–J’espère que tu n’es pas mon fils, soupira-t-il, vu comme tu es bête.
-Sympa le compliment, bougonnai-je, bon, tu jure de ne répéter à personne ce que je vais te dire.
-Ok.
–Je suis Martin Bolice.
Sur mes mots, il se plia de rire.
– Mar…Mar…Martin Bolice, pouffa-t-il, si tu était Martin Bolice, tu te serai déjà fais attraper, tellement tu est débile.
– Tu es le père de Martin Bolice.
Son sourire se figea soudain, ses sourcils se froncèrent, il trembla et tomba dans les pommes.
– Papa, papa, criai-je, que t’arrive t’il ?
– C’est bon Bolice, déclara une voix derrière moi, on va se charger de ton soi disant papa.
Des policiers attendaient tranquillement à côté de moi, Edwin était à leurs côtés.
– Si tu ne nous suis pas gentiment, me lança Reelbert qui était parmi eux, on va s’occuper devant toi de ton cousin.
J’étais soumis à un choix terrible, sois mon cousin ce ferait torturer devant moi, sois j’irais croupir en taule.
–Grouille-toi Bolice, on ne va pas y passer la journée.
– Ta gueule, lui criai-je, laisse mon cousin tranquille ou je te tue.
A peine avais-je finis mes mots que une gifle s’abattue sur le pauvre visage de mon cousin.
–Réfléchi un peu avant de sauter sur un homme des forces publiques, jeta Reelbert à Edwin.
J’étais obligé de me rendre avant que mon cousin soit vraiment blessé.
– Je me rends.
– Enfin, soupira Reelbert, un moment, j’ai cru que tu tenais plus à ta liberté qu’à ton cousin.
Sur ses mots, .
– Ho, se moqua Reelbert, on dirait que Bolice a un gros chagrin, il faut le consoler.
Ses collègues se mirent à rirent, quand soudain, l’homme que je pensais être mon père se réveilla et s’écria.
–C’est mon fils, laissez le tranquille.
Il sortit un couteau et plongea sur Reelbert.
–Papa arrête, criais-je, ils vont se défendre.
Il ne m’entendit pas, soudain, je poussais un cri d’horreur, je voyais Reelbert, un couteau dans l’épaule en train d’hurler, il dégaina son arme pour se protéger, mon père ne recula pas et l’agresser, sans le faire exprès, appuya sur la gâchette et mon père tomba raide mort sur le sol.
–Papa, hurlais-je.
Pendant ce temps la, Reelbert se tordait contre le sol, mais je n’en n’avais rien à foutre, ce qui comptait pour moi c’était mon père, ma mère, morte quand j’avais 1 ans n’avais donc pas pu s’occuper de moi et mon père seul m’avait loger, nourris et aider à passer les épreuves difficile dans la vie. Les policiers, trop occupé à soigner Reelbert ne s’intéressaient plus à nous, nous en profitâmes, Edwin et moi, pour prendre un passant en otage.
–Laissé nous partir avec le corps de mon père, sinon on tu le mec.
Les flics, bien forcé de nous laissés s’échapper, nous regardèrent, plissèrent les yeux et finir par déclarait.
–Tu t’en sors cette fois Bolice, mais on finira par te choper toi et ton stupide cousin.
- Hé, se vexa Edwin, je ne suis pas stupide.
Nous volèrent une voiture, nous jetèrent mon père et l’otage à l’arrière, je fermai les deux portes à clés, nous nous installèrent à l’avant et mon cousin fit démarrer la caisse. Nous étions aussi libre que tristes.






8 Ma maman n’est pas morte mais dangereuse, c’est vraiment flippant !


Le captif fini par dire qu’il s’appelait Tom Heracher, qu’il était juge, avait trois enfants, était divorcé et avait soif et faim. En temps qu’otage, il avait le droit d’être bien traiter temps qu’on avait ce qu’on voulait. Edwin s’arrêta donc devant la boutique d’une station essence.
–C’est toi qui fais le boulot Martin ?
–OK, j’ai récupéré une arme tout à l’heure, au fait, je vous prends quoi ?
– Vole-moi une pomme, me demanda-t-il, un coca, et un sandwich spécial viande si il y en a.
–Et vous, monsieur Heracher.
- Une salade verte et un sandwich végétarien, je déteste la viande et le poisson, par contre je veux bien aussi un bol de pâtes et une bouteille d’eau plate.
J’ouvris la portière et je me dirigeai vers le magasin quand soudain, retentit un cri de terreur venant de la voiture, je revenu en courant sur mes pas. Je découvris avec horreur le corps de Tom Heracher, un énorme trou dans le ventre, contre le sol, du sang coulait à flots de son ouverture.
–Edwin, que s’est-il passait, c’est toi qui as fait tout ça.
Je me rendis compte qu’il était inutile de lui parler car il avait un ongle en moins et qu’il était évanoui.
– Moi je vais t’expliquer ce qu’il s’est passé Martin.
Je tourna la tête et aperçu une rouquine qui devait avoir trente ans de plus que moi, elle me ressemblait étrangement, avait les yeux d’un bleu si clair que j’ai cru voir le ciel dégarnis de ses nuages.
–Martin, je m’appelle Linda Bolice et je suis ta mère.
J’avais l’impression de me trouvai à la place de Luke dans Star Wars au moment où Dark Vador lui révèle qu’il est son père.
– C’est impossible, ma mère est morte du choléra dés mon plus jeune age.
–C’est ce que j’ai demandé à ton père à tes 1 ans. Tu n’avais pas très bien réalisait ça quand on te l’a annoncé, la vérité ? C’est que je devais partir vingt ans dans le Sahara sans électricité et sans grandes constructions modernes, seulement à manger, à boire et un peu de bois pour les cabanes ? C’était un projet fou pour prouvai que les villes sont inutiles pour l’homme et que seul la nature compte, il s’appelait S.T.N (Sauver la Terre et la Nature) et il y a eu deux cent cinquante morts sur deux cent soixante-dix. Ton père qui était complètement contre cette expédition n’a pas accepté de me suivre, il disait que ce projet était meurtrier et qu’il n’allait rien apporter. Si seulement je l’avais écouté, j’ai vu des personnes à qui je tenais beaucoup mourir et souffrir devant mes yeux sans pouvoir rien faire, nous étions ravitailler tous les mois par des gens de la ville sur des dromadaires et parfois il y avait de grosses tempête de sable et les chemins utiliser par les dromadaire était inaccessibles mais nous ne voulions pas avoir accès à l’eau et à la nourriture par hélicoptère ou par tous transport moderne, c’était l’enfer.
J’étais impressionné par cette expédition, ça devait être l’horreur.
–Quel rapport avec ça, demandais-je à ma mère.
–C’est toi qui à demander des explications en me disant que j’était morte.
–Maintenant explique moi ce qui s’est passer.
– D’accord, voilà, ton cousin regarder son portable, quand soudain.
Elle s’interrompit, un agent des forces de l’ordre accompagné deux autres policiers s’étaient installé pas très loin de nous.
– Coucou Bolice, me lança l’un d’entre eux. Il s’avança et me gifla.
– C’est de la part de Reelbert qui est entre la vie et la mort à cause de ton père, le truc qui le rassure, c’est de savoir que ton père est mort.
Sur ses mots, je dégainai mon arme et je tirai un coup dans l’air ce qui le fit brusquement sursautai et il tomba par terre, j’en profitai pour le prendre en otage.
– Cassez-vous ou je tire.
A peine ma phrase finis, ils s’en allèrent en courant.
–Continue, maman.
–Hein, à oui, donc Ton cousin regarder son portable quand soudain le type par terre troué lui a sauté dessus avec un ouvre boite, Edwin n’eu pas le temps de se rendre compte de quoi que ce sois que…, comment s’appelle-t-il au fait.
–Tom Heracher.
–Hé bien, Tom Heracher lui a arracher l’ongle, l’a assommé avec ses poings et lui a volé son couteau.
Je frémis.
–Ca a du faire mal.
–En effet, le pauvre Edwin s’est fait arraché un ongle, mais il n’a rien sentit, il était assommé.
Je retenu un petit pouffement, déjà que quand mon cousin dormait, il fallait se levait de bonne heure pour le faire sortir de son sommeil, alors s’y en plus il est évanouis, même si il y avait un hélicoptère un ou deux mètre au dessus de lui, il ne se lèverais pas. Ma mère me lança un regard noir et elle repris.
–C’est au moment où le coup fatal allait s’abattre sur ton cousin que j’arrivais, moi aussi armés d’un couteau.
Une boule se forma dans ma gorge. Déjà que j’étais surpris d’avoir une mère, alors de savoir qu’elle pouvait être dangereuse, cela me faisait flipper.
-Je bondit sur lui, termina-t-elle, et c’est là que j’ai causé, sans le vouloir vraiment, l’Impardonnable. Elle fondit en larmes, et moi j’étais là avec un cousin évanouis, un cadavre et une mère en pleurent. Je n’avais aucune aide quand soudain, je vis passé une personne familière: Eric.






9 Tuer est horrible, mais tuer est utile *


Une chose incroyable à voir pour moi, une des deux personnes que je chercher était là devant moi.
–Eric, poussais-je, je suis là.
Il tourna la tête, le visage terrorisait.
–Fais gaffe, Bolice.
Je tourna à mon tour la tête et eu, moi aussi, le visage horrifié. Mon otage s’était réveillé et il n’avait pas l’air de me vouloir du bien, pas de bien du tout. Il m’agrippa, me fit perdre l’équilibre et je m’écrasais contre le sol.
–Alors Bolice, fit-il avec un sourire, c’est comme ça que tu traites les gens, ce n’est pas très gentil.
–Tu me prends pour un gosse ou quoi, lui lançai-je violemment, t’est gaga ou quoi, ouais, à mon avis, j’ai du te donner un trop gros coup tout à l’heure.
Je me relevai lentement et je lui attrapai le poigner pour le faire lui aussi tombai. Il s’effondra en poussant un juron. Mais il ne tarda pas à me prendre par les jambes pour que je perdre l’équilibre. Les premiers poings se firent sentir.
–En plein dans ta face, me lança mon adversaire en me décrochant une beigne.
–T’appelle ça être coriace, me moquai-je, tu sais pas te battre.
On s’injuriai de tous les noms tout en se tapant, s’était amusant mais lassant. Eric et Edwin (qui s’était réveillé) se joignirent à nous ; à trois contre un, l’ex-otage n’avait aucune chance.
–Abandonne, criai-je, tu n’as ni d’aide, ni de chance pour gagner, par contre, si tu continu, tu as plus de chance pour te faire tuer.
–Non Bolice, je ne laisserai pas l’opération « Capturez Bolice » tomber.
–La quoi, s’exclama Eric.
–C’est une opération secrète pour qu’on capture Bolice sans faire prendre de risque à qui que ce soi, à part à tes amis en cause.
« Quel crétin » pensai-je.
Soudain, je sentis mon bras se torde.
–Argg, poussais-je, tu vas me payer ça, sale flic.
–Heu, me lança Eric quelque part à côté de moi, à ta place je ne le provoquerai pas.
Je jetai un coup d’œil discret et je découvris avec horreur que mon compatriote avait été attrapé à la gorge par deux illustres inconnus et qu’on été en train de me faire une clé de bras.
–Je me rends, hurlais-je, mais par pitié, stoppé ça.
–Notre célèbre criminel s’avouerait vaincu par de simples passants, jeta le policier contre qui je m’étai battu en m’on attention.
De simples passants, c’était juste de simples passants que je pouvais totalement maîtrisé. Apparemment, mes amis avaient eu la même idée car il y avait une sorte de flamme dans leurs yeux ; je les comprends, il ressentait la même sensation que moi : l’humiliation. C’est la que la bagarre devint violente. Edwin colla une gifle au mec qui le tenait tandis que Duragnion étrangler et cogner ses adversaires. Moi, je me contentai donner des coups dans les tibias de mes ennemis.
–Grouillaient les gars, ordonnais-je, on n’a pas toute notre vie.
–Mais pour allai où, demanda mon (stupide) cousin.
–On va volait une bagnole, chuchotais-je à mes compagnons.
–Encore, plaisanta Eric.
–C’est ça, fous-toi de moi.
–Ça va, je déconnais, ce n’était pas méchant.
–J’avais compris, je ne suis pas bête non plus.
–Quoi que, marmonna Edwin.
–Bon, leurs lançais-je, on y vas ou on attend de se faire chopper.
–Je propose qu’on y aille.
–D’accord, go.
Nous fonçâmes vers une voiture où un type faisait le plein d’essence.
–Pardonnez-nous, m’excusais-je au près de l’homme en le poussant sur le côté pendant que Duragnion et mon cousin enclenchaient le moteur de la voiture, mais c’est une urgence.
–Dit Martin, me questionna Edwin, et ta mère.
« Maman », pensais-je, je l’avais complètement oublié, quel fils indigne je faisais.
–Merci de me le rappeler Edwin, j’ai un plan, Duragnion, tu démarre, Edwin, tu agrippe mon bras, Eric tu fonce vers ma mère, tu passe à côté d’elle, je l’attrape et on se barre, c’est clair.
–C’est clair, répondirent-ils, on y va.
Eric démarra brusquement et Edwin m’accrocha le bras. J’eu peur que, quand Duragnion fonça sur ma mère, il ne tourne pas assez vite et l’écrase.
–Viens, mam.
Ma mère tandis la main pour que je l’attrape.
–Parfais, m’exclamai-je.
–Ne te réjouis pas trop vite, Martin.
–Pourquoi, répondis-je à ma mère qui montait dans la voiture.
–Pour ça.
Je me senti tirer vers l’arrière.
– Quoi, que se passe t’il maman.
–Rien, tu vas te faire emmené à la prison, c’est tout.
« Quoi, ma mère me laissait tomber alors que je venais de la retrouver »
-Désolé Martin, tu ne feras pas plus de mort.
-Hein, m’exclamais-je, tu veux dire que tu me trahi.
-En effet, je viendrai te voir des que possible en prison, mais tu ne pourras plus tuer, c’est l’avantage.
-Maman, que t’arrive-t-il ? Pourquoi fais tu ça.
-Ça parait logique, elle a perdu la boule ! Expliqua Eric.
Mais bien sur ! Elle devait être folle de toutes ses horreurs, comme tuer ou voir mourir ou souffrir ses amis.
-Laisser mon cousin, jeta Edwin en sautant sur l’ancien otage.
Il le souleva par la gorge pour le relançai contre le sol. Il hurla.
-Bien jouer, Edwin, félicitais-je mon cousin.
Je sorti mon arme et visa le policier, j’appuya sur la gâchette, et sa tête tomba par terre.
-Tuer est horrible, déclara Duragnion, mais tuer est utile.*






* Pour nos très jeunes lecteurs, cette phrase ne dit pas que la vérité
10 Tout est bien qui finit (Presque) bien


Je pris le volant de la voiture pendant que Edwin attacher ma mère (Avec une ceinture, mais aussi avec une corde).
-C’est encore loin, grogna mon cousin.
-Edwin, nous venons de partir.
Il était gentil et utile, mais quesqu’il pouvait être bête parfois, même si parfois, il pouvait être plus intelligent qu’Albert Einstein en personne.
-Dis moi, Eric, comment est tu arrivé ici ?
-Ho, ça, répondit-il. J’étais dans le car de police, quand soudain, le chauffeur dérapa et nous eûmes un accident. Je voulu partir avec Victoria, mais elle était évanoui, je décida donc de m’en aller seul. Je fus hébergé dans des maisons. Certaines personnes me prenaient avec elles dans leurs voitures. Je fus nourri par des gens. Deux jours après, je trouva de l’argent par terre et je pris le chemin vers la station essence la plus proche, et c’est là que je vous est retrouvé.
-Intéressent, fis-je, donc tu ne sais pas où est Vic.
-Depuis quand appelle tu Victoria Vic.
-Je ne sais pas, répondis-je, un mec l’avait appelait comme ça à Tellisville.
-Sûrement l’agent Arest, suggéra Duragnion, il est raide dingue d’elle, il s’imagine qu’elle l’aime mais qu’elle est trop timide pour le lu dire.
-Effectivement, elle l’avait appelé comme ça, c’était aussi le mec auquel tu as dis « Vous insinuez que je suis un mauvaise agent ».
-C’est exact. Mais dit, ne fais pas comme la dernière fois que tu as discuté alors que tu était au volant, on a fini dans le fausset et causer un énorme accident. Ça te parle ?
Il avait raison, j’avais vraiment fait un gros accident qui avait blessé beaucoup de gens. Edwin dormait, mais les yeux ouverts, ce qui était un peu horrible. Et mon autre ami lisait. Tout ça me donnait envie de vomir.
-Comment fais tu, demandais-je à Eric.
-Faire quoi.
-Lire en voiture.
-Ça n’as rien d’extraordinaire.
-Tu plaisantes, je ne peux même pas lire un mot en bagnole sans vomir.
-Si je ne lisait pas en voiture, je mourrai d’ennui.
-Bon, bref. Après, comment fais-tu pour être à côté de ma mère et d’un mec qui dort les yeux ouverts sans mourir de trouille.
-Mais t’es vraiment un peureux, me fit remarquer mon compagnon lecteur en voiture.
-Pas du tout, protestai-je, je n’aurais jamais osé tuer quelqu’un si j’était peureux.
-Ho et puis zut, laisse moi lire tranquille et conduis.
« Merci, beaucoup. Sale petit frimeur » pensais je.
-Je suis crevé, tu peux prendre le volant Eric.
Il se figea.
-Te remplacer, c'est-à-dire que.
Il respira un gros coup.
-Martin, je ne sais pas conduire.
-Quoi, tu es en train de me dire que tu étais flic et que tu ne savais pas conduire.
-Il n’y a pas de mal, j’ai conduis une ou deux fois, c’est déjà ça.
J’étais bouche bé. Mon meilleur ami de ne savait pas conduire ; et il trouvait ça pas mal d’avoir piloter une ou deux fois.
-Tu dois te demander pourquoi. C’est que je me suis fait recaler assez souvent, tout le temps en fait.
-J’avais compris, quand quelqu’un n’a pas son permis, c’est qu’il est recalé tout le temps. Sauf pour moi, on m’a recalé parce que j’avais à peine abîmé une voiture. J’ai casé les deux rétroviseurs, défoncé le capot et les vitres. Ça a coûté si cher que mes parents ont du payer la moitié de l’amende.
-Félicitation, mais regarde la route s’il te plaît ; je tiens à ma vie.
-Je viens de te dire que j’étais fatigué.
-J’veux prendre le volant.
-Hein quoi, ah oui, qui a posé la question ?
-Ta mère.
-Merci Eric. Maman tu ne pas prendre le volant, tu n’est pas très bien.
Je préférais insinuer cette phrase que le mot « Folle ».
-Par contre, moi je peux conduire.
Je devinais que c’était Edwin qui m’avait demandé ça.
-Ok.
Je m’arrêtai sur le côté de la route. Mon cousin pris ma place. Je me couchai dans le siége à la gauche de ma mère. Je m’endormi peut à près. A mon réveil j’étais assis dans l’herbe à la droite d’une jeune femme. Je jetai un coup d’œil à cette personne. C’était Victoria.
-Victoria, m’exclamais-je, que fais tu ici ?
Elle me regarda bizarrement.
-Martin !
-Que c’est t’il passait ?
-J’étais dans un car de police qui recherchait Eric, quand un malade nous rentra dedans, on aurai dit Eric.
-C’est exact, fit Edwin quelque part dans un buisson. Je suis tombé de fatigue et Eric a du piloter la caisse pour ne pas qu’on finisse déchiqueté à cause d’un accident et il a justement du en causer un !
-Sûrement.
Je me levai péniblement, fit quelque pas et constata une petite porte.
-Il doit y avoir une entré par ici, criai-je.
-En effet, dit le causeur de l’accident qui c’était réveillé, j’ai vaporisé la voiture d’un gaz soporifique pour qu’Edwin s’endorme, j’ai pris le volant et je vous est conduits ici pour une certaine raison. Pour Victoria, c’est un hasard total.
-Quelle est cette « certaine raison ».
-Suivez moi.
Il ouvrit la porte avec des clés qu’il avait dans sa poche. Nous entrâmes et découvrirent avec émerveillement un petit jet, assez grand pour nous tous.
-Montez dedans, ordonna t’il.
Nous montâmes dans. C’était magnifique ! Mes amis prirent place pendant que moi, j’admirai avec stupéfaction l’intérieur fantastique de l’engin. Je finis par m’asseoir quand Duragnion me le supplia. Les moteurs grondèrent, une entrée se dégagea pour que l’appareil puisse sortir. J’attachai bien ma ceinture et nous décollâmes.
-Direction la Russie, cria notre pilote qui était Eric.
Nous décollions donc pour le pays de la vodka et des Tsars. Nous étions libres

(A suivre dans le prochain tome « Aventure à St- Peters Bourg »)
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MessageSujet: Re: Martin Bolice   Martin Bolice EmptyDim 20 Mar - 19:22

Et c'est toi qui a écrit tout ça ?!
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